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Laëllyra Coursevent

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Message par Invité Dim 14 Avr - 15:39

COURSEVENT
Laëllyra

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Personnage



Nom : Coursevent

Prénom : Laëllyra

Créature : Anciennement fée, désormais Lightness.

Sexe : Femme

Rang social : Issue d’une famille des plus nobles de sa race, elle est à la tête d'une grosse fortune.

Âge : 386 ans ~ elle paraît en avoir 20.

Particularité : Maîtrise poussée du vent et de l’air. Elle tient d’ailleurs son nom de là, tout comme ses ancêtres ont tenu ce nom et ce don de leurs aïeuls. Le peu de pratique l’a rouillée, même si elle pourrait vite retrouver ses pouvoirs si elle s’entraînait régulièrement.
Une autre particularité qu'elle a et qui est encore liée à sa famille, est ce tatouage qu'elle sur le mollet, celui qui symbolise l'air, il ne fait pas plus de cinq centimètres de haut et trois centimètres de large, mais de nombreux traits fins de couleur noir s'imbriquent les uns dans les autres comme pour signaler qu'une brise ne peut pas paraître bien dangereuse mais peut être à l'origine de la plus terrifiante des tornades.


Travail : à vous de voir


Description avant




Le Physique : Fée qui se complet de la Nature et de Ses bienfaits, Laëllyra tient avant tout à son bien-être et à son apparence. Elle aime donner l’image d'elle qui pourrait la faire passer d'une femme issue d'une famille noble rien que de par ses manières et son langage entre autres.
La première chose que l'on remarque chez elle est sa longue chevelure, le maniement du vent faisant partie intégrante de sa vie se ressent, car on voit souvent ses cheveux voleter légèrement dans ce qui semble être une brise constante qui l'entoure à longueur de temps. On remarque d'autant plus sa chevelure, d'un noir de jais profond, contraste avec sa peau d'une blancheur.
Son teint est loin d'être de cette couleur pâle qui caractérise les malades, c'est plutôt une caractéristique de sa race. La fée préfère garder la taille humaine, lorsqu'elle prend la taille dite naturelle pour les fées, cette peau blanche semble refléter la lumière de jour de manière à ce que l'on voit un léger halo autour d'elle de nuit, telle luit telle une luciole. Lorsqu'elle reste de taille humaine, sa peau blanche peut parfois donner l'impression de refléter la lumière, mais seuls de très bons yeux peuvent le distinguer.
Élancée et fine, elle est un beau cliché pour une fée, pour une humaine cependant, elle serait une jeune femme gâtée par la nature. Ceci, cependant, elle ne s'en rend pas spécialement compte et elle ne l'utilise pas à son avantage, comme tant de femmes peuvent le faire.
Le dernier point et qui est sans nulle doute la première chose que l'on remarquerait si elle les sortait, sont ses ailes. Grandes, fines, aux reflets violets elles sont sans nul doute impressionnantes pour ceux qui n'ont jamais vu de fées, mais elle ne les sort que très rarement lorsqu'elle est sous cette forme humaine, cette forme qu'elle préfère garder. Elle s'est essayée plus d'une fois à voler sans ses ailes, mais c'est cause perdue, elle a entendu que c'était faisable, mais ça ne l'est pas par elle.

Le Mental : Elle aimerait être une de ces femmes fortes, aux talents reconnus. Néanmoins, son apparence et son âge ne font pas d'elle une fille trop naïve et innocente, ses manières réservées donnent une impression froide, mais aussi posée et réfléchie aux gens qui la voient et qui la connaissent. Une fière petite Lady, qui a toujours rêvé de faire partie du Cercle, mais qui pense n'avoir ni l'expérience, ni le savoir qu'il faut pour une telle place, préférant rester en retrait.
Perspicace, elle passe pour froide, hautaine ou même calculatrice, mais elle cache un cœur ayant souffert par le passé et se réfugie derrière cet air car elle préfère ne pas souffrir à nouveau, cliché du plus grand stéréotype de complexée. Encore une fois cette brise qui l'entoure constamment revient à la charge, car elle ne fait que rajouter à ce côté que l'on viendrait plus à qualifier par glaciale.
Elle ne tient pas du tout à montrer qui elle est vraiment, au contraire, elle veut établir une image d'elle, celle qu'elle s'imagine être la bonne, celle d'une femme autoritaire et indépendante, pas celui d'une femme aimante.
Malheureusement pour elle, elle reste jeune et bien qu'elle ne soit pas si naïve que ça, elle a bien un trait de caractère qui lui fait souvent défaut: sa curiosité.




Description après



Le Physique: Décrivez-vous en quelques lignes, Le personnage doit ressembler à l’avatar. [5 lignes minimum]

Le Mental : Décrivez votre mental, votre manière de pensée, vos goût... [5 lignes minimum]


Biographie




Lien sociaux : Fille unique, elle a perdu ses parents lors d’un incendie, comme vous le dira l’histoire.

Histoire : Les fées ne tiennent pas autant compte de titres, richesse que les autres races, cependant, quand vient l'heure de la rencontre, il faut bien comparer. De ce fait la famille Coursevent était sûrement une des familles les mieux loties et des plus connues des familles nobles de leur race. Maintes fées ne choisissaient pas de nom de famille et se contentaient de vivre paisiblement dans la forêt, des champs de fleurs, mais pas celle de Laëllyra. La jeune fée est donc venue au monde dans un environnement différent de ses comparses et dès son plus jeune âge on lui a inculqué ce qu'était la différence, ce qu'était la hiérarchie, le pouvoir. Le cœur des fées, cependant, n'est pas aussi facilement corrompu que celui des hommes, le pouvoir ne montait pas à la tête de sa famille, pas plus que son rang, ce qui n’empêchait pas la protagoniste de n'avoir qu'une envie : aller dehors et se trouver seule à la lisière du bois à voleter parmi les abeilles qui butinent, à dormir à l'ombre d'un grand chêne au bord de la rivière, ou à danser toutes les nuits avec des amies dans les champs de fleurs. Ses demandes furent ignorées ou rejetées, elle prit soin de les étouffer et de les dissimuler, comprenant que dans ce monde, on n’obtenait pas toujours ce que l’on voulait ou qu’il y avait quelqu’un pour décider.

Las de toujours avoir à parfaire ses manières, elle s'éteignait, la lueur qui l'entourait s'amoindrissait, le halo de lumière l’entourant se dissipait ne laissant qu’une peau pâle et on la voyait de moins en moins souvent sortir ses ailes. Ceci ne pouvait échapper aux siens, il fut donc décidé qu'elle devait après tout sortir et voir du monde. Désireux de combler ses désirs pour faire revenir la vie en elle, mais désireux, surtout, de lui prouver que le monde extérieur ne valait rien, elle fut emmenée dans les plus grandes villes, là où elle verrait tout en grand, même les vices des êtres qui vivaient dans le monde.
Laëllyra découvrit ce qu'était l’opéra et le théâtre, les restaurants cinq étoiles, mais aussi les terrasses de petits cafés. Les rues grouillantes de monde, les coups de coudes et bousculades, tout ceci était nouveau et attirant aux yeux de la jeune fée qui ne cessait de s'émerveiller, mais qui ne remarquait pas que de nombreuses ruelles et culs-de-sac attenants aux grands boulevards abritaient clochards ou petits gangs. Âgée de ce qui serait l'équivalent des quatorze ans pour une humaine, elle était de ce fait parfois incontrôlable et imprévisible. La fois où elle fut laissée seule en terrasse, elle écouta son instinct et se leva précipitamment. La ville était à elle, seule! Beaucoup de jeunes se promenaient à leur guise, ce qu’elle admira au début. Elle se rendit vite compte que ces jeunes étaient généralement au moins deux, seule elle se sentit vite menacée. Prenant plus de temps à observer les gens qui l'entouraient qu'à regarder où elle posait les pieds et se retrouva vite perdue dans un endroit de la ville qu'elle n'avait jamais vu. Plus de grand opéra, le musée n'était nul part en vue, pas plus que l'hôtel. Elle voulut demander son chemin à un homme qui était tranquillement assis, s'il était là c'est qu'il devait connaître le coin, mais en se rapprochant elle vit qu'il était borgne et elle fuit, cette odeur qui l'entourait était insoutenable! Elle trouva une bande de filles qui la scrutèrent du haut de la tête à la pointe de ses chaussures, aucune d'entre elles ne répondit à ses questions. Perdue, effrayée et en colère elle continua à suivre un chemin que lui dictait ses pieds, qui lui faisaient mal.
Quelqu'un la héla une vague de joie se répandit en elle, enfin, elle allait retrouver ses parents et sa chambre, elle se retourna et vit trois hommes. Son cœur s'arrêta de battre, son souffle était coupé, c'était de cela qu'on lui parlait sans arrêt, c'était cela qu'ils voulaient lui éviter. Trop terrifiée pour réfléchir ou bouger immédiatement, elle revint à elle après quelques secondes et reprit son chemin, mais deux autres personnes venaient vers elle, fermant son chemin. Elle ne devait pas leur montrer qu'elle avait peur ou qu'elle ... Subitement, elle se rappela qui elle était et elle amorça sa transformation, la jeune fillette de quatorze ans qui allait se retrouver coincée n'existait plus, une fée terrifiée venait de prendre la poudre d'escampette, laissant des crétins ébahis derrière elle. Elle n'avait pas le droit de se transformer en public c'était la seule chose qu'on lui avait dit de ne pas faire, tout comme la seule chose qu'on lui avait dit de faire était de rester avec ses parents.
Plus de peur que de mal. Elle retrouva ses parents une heure après, s'envoler lui ayant donné une vue d'ensemble.

Malgré la rencontre qui avait failli mal se terminer, Laëllyra n'avait toujours qu'une idée en tête, retourner en ville, les sorties lui étaient toujours interdites, avec l'âge vint la sournoiserie et elle sortit en cachette. Elle se fit deux très bonnes amies d'ailleurs qu'elle retrouvait régulièrement, des fées qui n’avait aucune origine bourgeoise, des fées qui voletaient où elles le souhaitaient, quand elles le voulaient, des fées sans rang, ni classe, mais des fées avec qui elle pouvait parler, rigoler, s'amuser et sur qui elle avait pu compter cette fameuse nuit et les semaines à venir.

Rentrant en douce chez elle après quelques heures passées à danser, elle se retrouva devant une maison en flammes. Personne ne savait ce qu'il était arrivé au domaine des Coursevent, en tout cas la seule chose restante qui gardait le souvenir de cette vieille famille de fées en vie était la plus jeune fée de la famille, la seule et unique héritière. Les rares témoins qui aient assisté à la scène se rappellent encore le déchainement du vent qui suivit l'arrivée de la petite Laëllyra, entourée de vent, elle arrivait finalement à voler sans ailes, la lueur que dégageait son corps était d'une couleur bleue électrique au lieu de cette aura bleu pâle ou violet pastel.

Quelques années passèrent, la fée avait l'équivalent d'une petite vingtaine d'années, voire moins. Sa vie, elle n'en parlait pas, sa famille encore moins. Elle avait quitté le monde des fées pour venir se trouver une nouvelle vie loin de tout ce qui pouvait lui rappeler la perte de sa vie, de sa famille. Elle était venue dans un monde qui lui permettrait de voir beaucoup de choses qui lui permettrait d'oublier ce qu'elle gardait sur son cœur. Ce monde, c’était une ville nommée Avventura. Elle gardait sa forme humaine, prenait soin de ne pas trop se lier avec les gens même si toute sa vie elle en avait rêvé, elle savait qu'elle avait besoin d'un confident, qu'elle voulait des bras autour d'elle pour la rassurer, mais son cœur était resté dans ces flammes et elle ne voulait pas souffrir de perte une nouvelle fois. Finie l’envie de sortir, danser, découvrir le monde, l’héritière gardait la tête haute et se raccrochait à ce rang, la seule chose qui lui restait de son héritage.

Elle fit des rencontres à Avventura, bonnes ou mauvaises, elle ne saurait le dire. Une seule de ces rencontres l’avait vraiment marquée, à mort, les autres n’étaient que des visages sans nom qui étaient passés en coup de vent dans sa vie. Elle n’était pas parvenue à oublier son passé et gardait ce poids sur elle. Etait-ce pour cette raison qu’elle avait attiré à elle cette chose infâme et informe ? Des rumeurs circulaient sur l’existence de monstres sans noms de créatures sorties des enfers. La rumeur elle aurait certainement pu la confirmer, si elle n’avait pas été chassée, blessée et finalement tuée par l’une d’elle. La mort qui s’annonçait brutale avait pourtant fini par être des plus douces, un baiser posé sur ses lèvres et le champ d’étoiles étaient ses derniers souvenirs. Les derniers souvenirs d’une fée.

Pas de ces fameuses ténèbres pour l’entourer, ni de tunnel au bout duquel on pouvait voir de la lumière. Une impression de chaleur, une voix qui résonnait dans sa tête qui lui disait d’ouvrir ses yeux et de se lever pour aller de l’avant. La créature sans nom l’avait bercée dans un sommeil qui s’avérait ne pas être un sommeil infini en fin de compte.
Pas de douleur, la crainte, la peur, toutes ces émotions noires qu’elle avait ressenties et qui avait nourri la Darkness qui les avait aspirées comme elle avait aspiré sa vie, toutes ces émotions n’existaient plus. Laëllyra se redressa, son corps était appuyé contre l’arbre, ce même arbre qui lui avait servi de support et de refuge.


</blockquote>


[ce personnage a déjà été pris d'où son histoire longue. Cependant il vous ais possible de modifier son mental et son physique car suite à sa réincarnation certain changement peut avoir été fait sur elle.]

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